Prénom:Méloza
Nom:Granger
Caractère (min 3lignes):Caractère : Depuis son plus jeune âge, elle a toujours été prête à aider les autres. L'écoute et le soutien sont deux principes qui lui sont chers ! Elle ne s'est jamais énervée car elle a très vite compris que cela n'apportait rien. L'enseignement qu'elle a reçu de sa famille lui a permis d'atteindre une paix d'esprit qu’elle a perdu à la mort de sa grand-mère (voir histoire). Méloza est généreuse, courageuse et envahie d’un désir de vengeance. Elle déteste les personnes hypocrites et menteuses. Méloza est pensive, et réfléchit. Elle est assez intelligente mais assez dubitative. Beaucoup de gens la croit naïve, mais ils ont tord : elle cerne les gens dès leur première rencontre, cela lui causant souvent du tord.
Physique (min 5lignes):Méloza à de long cheveux qui repose sur ses épaules dénudés. Un frange rebelle cache une partie de son visage. Elle a de beaux yeux marron très foncé. Sa bouche est fine, souvent ouverte. Son visage est assez pales surement due à un manque de lumière étant jeune. A son coup, on discerne un collier ou repose une médaille d'argent dont elle ne se sépare jamais. Son corps est très avantageux et elle adore le mettre en valeur dans de magnifique robe souvent très excentrique. Ses habits reflètent au mieux sa personalité. Elle se fiche très bien que ces vêtement ne plaisent pas.
Histoire (min 10lignes):C'était le 26 Janvier 1995. Il faisait beau, le soleil avait sa place dans un ciel entièrement bleu et l'air était glacial. Ca avait été une journée épuisante pour Edwin. A contrecoeur il avait dû emmener les jumeaux à l'hôpital, alors âgés de 6 ans. Noah et Orian, deux crapules insortables. Mais Edwin ne s'occupait pas de leurs idioties aujourd'hui, il attendait patiemment. Edwin toujours été patient, et ce jour-là plus qu'autrefois. Il savait que Linoï avait souffert de cet enfant qu'elle mettait au monde. Elle ne l'avait pas souhaité, et au départ Edwin non plus. Mais à force de se l'imaginer, il n'avait pu laisser sa femme s'en séparer. Il lui avait demander cette dernière faveur, car il savait que se serait la dernière.
Depuis plusieurs jours, Edwin ne cessait de regarder par cette fenêtre. C'était devenu une habitude qu'il ne contrôlait plus. Chaque fois qu'il passait devant il s'arrêtait un moment et la fixait. Il espérait qu'elle reviendrait, qu'elle l'embrasserait et qu'elle prendrait Méloza dans ses bras en la berçant tendrement. Mais rien de cela n'était survenu. Noah avait fouiller toutes les armoires en cherchant une trace d'elle. Orian s'était rouler en boule en attendant de retrouver sa chaleur, sa présence. Et Méloza avait continué de pleurer, encore. Mais Linoï n'était plus là. Edwin n'en doutait plus maintenant, elle ne reviendrai pas. Elle en avait eu assez, cette famille était trop lourde pour elle. Linoï avait besoin d'indépendance, d'espace et de liberté. Ce n'était pas une mère.
Méloza colla sa tête contre la vitre du bus. Il ne restait plus que deux arrêts avant le sien. Devant elle, Orian parlait à une jeune femme d'un air charmeur en se vantant de tant de choses qu'il ne possédait pas. Noah était assis à côté d'elle et avait les écouteurs de son baladeur dans les oreilles, un air rêveur dans les yeux. Ses cheveux lisses et noirs luisaient à la lumière du soleil aveuglante. Les rues étaient animées dehors. Des centaines de personnes se déplaçaient lentement, soufflant et s'essuyant le front. D'un geste vif elle poussa Noah de son siège. Ils étaient arrivés. Les trois frères et soeur se retrouvèrent au milieu de la foule qui fourmillait dans les rues de la ville. Les jeunes gens se frayèrent un chemin pour arriver devant un immeuble à la façade salie par le temps. A l'intérieur du bâtiment, la jeune fille s'arrêta devant un mur recouvert de boîtes aux lettres. Elle en sortit d'une une liasse d'enveloppes et de publicités. Elle regarda rapidement dans le paquet. Des factures, des lettres manuscrites, des journaux publicitaires et une lettre à l'enveloppe jaunie. Miss Méloza Granger, 7 Old Street, London. Elle déchira l'enveloppe. Qu'est-ce que s'était que cette plaisanterie, qui lui écrivait? Elle n'avait aucun ami, c'était sûrement une publicité. Ou bien une lettre de Linoï... Mais c'était bien mieux que tout ça, beaucoup mieux...
Votre plus grand rêve:devenir Auror
Votre matière préférée:métamorphose et potion
